Son acte de mariage utilise "Josèphe" partout. Mais "Josephe" partout, dans son acte de
naissance. Et vu la signature évoluée de son père Jean, et d'autres particularités d'accents et
orthographes, il me semble que c'est vraiment la forme voulue par son père: sans accent.
Son acte de mariage utilise "Supèry" (accent grave, au lieu d'aigu), à sa seconde mention. Et c'est supposément elle qui signe "Supèry" aussi. L'autre signature "Supery" (pas d'accent), c'est son père Jean.
Attention à ne pas confondre Cadeillan (32069), avec Cadeilhan (32068), à 60km au nord, toutes les deux dans le Gers.
Elle est décédée à 72 ans et demi, mais 6 ans et demi avant sa mère Marie.
Pour son mariage, elle signe «St Supery Irma» (pas d'accent à «Supery», comme son père, et
contrairement à sa grande soeur qui signe «Supèry», et pas de 'H' à «Irma»).
Attention à ne pas confondre Cadeillan (32069), avec Cadeilhan (32068), à 60km au nord, toutes les deux dans le Gers.
Attention à ne pas confondre la commune de Noilhan (32297), avec le lieu-dit Noailhan
(historiquement commune de Nouailhan?), à 40km à l'ouest, mais toujours dans le Gers. Son acte
de mariage, mentionne par erreur à la fois Nouailhan et Noailhan.
Il a une signature un peu évoluée, dès la naissance de Josephe. Pour les actes, il apporte, il
me semble, son propre instrument d'écriture? Il a supposément un cousin de même âge, également
cultivateur, à Cadeillan, Bertrand Saint Supéry, qui a une signature un peu plus évoluée que la
moyenne, mais moins maîtrisée. On peut le voir dans l'acte de naissance de sa fille Sélestine,
sur la même vue que l'acte de naissance de Josephe (née deux semaines plus tard). Presque 25 ans
plus tard, alors qu'il a dans les 65 ans, sa signature est un peu maladroite. Vieillissement,
douleur, blessure, émotion particulière, mauvaises conditions d'écriture quelconques? Six ans
plus tard, pour le mariage de Jeanne, sa signature retrouve largement son assurance, sauf sur le
'p'.
Attention à ne pas confondre Cadeillan (32069), avec Cadeilhan (32068), à 60km au nord, toutes les deux dans le Gers.
Attention à ne pas confondre la commune de Noilhan (32297), avec le lieu-dit Noailhan
(historiquement commune de Nouailhan?), à 40km à l'ouest, mais toujours dans le Gers. L'acte de
mariage de sa fille Jeanne, mentionne par erreur à la fois Nouailhan et Noailhan.
Déclare ne pas savoir signer, pour l'acte de mariage de sa fille Jeanne (1881).
Attention à ne pas confondre Cadeillan (32069), avec Cadeilhan (32068), à 60km au nord, toutes les deux dans le Gers.
Attention à ne pas confondre la commune de Noilhan (32297), avec le lieu-dit Noailhan
(historiquement commune de Nouailhan?), à 40km à l'ouest, mais toujours dans le Gers. L'acte de
mariage de sa fille Jeanne, mentionne par erreur à la fois Nouailhan et Noailhan.
Ses filles Josephe et
Jeanne, ont eu pour enfants respectifs,
Jean BONNET et
Marie SEMBRET, qui se sont mariés, et ont eu pour fils, mon
grand-père paternel. Aucune mention de la consanguinité (cousins germains, mêmes
grands-parents maternels) de Jean et Marie, dans leur acte de mariage, malgré donc le même
nom de famille, de leur mère respective.
En droit civil, depuis 1804 (article 162 du Code civil), en ligne collatérale, seuls les
mariages entre frères et soeurs sont prohibés (sauf levée par le gouvernement, selon
l'article 164). Il n'y a donc pas de prohibition du mariage entre cousins germains
(quatrième degré).
Selon le droit canonique de l'Église catholique, jusqu'à 1983, il s'agissait d'une
consanguinité au deuxième degré (ligne directe), nécessitant une dispense par le pape.
Depuis, il se serait agi d'une consanguinité au quatrième degré (ligne collatérale),
empêchant cependant toujours le mariage catholique, sauf dispense, par l'évêque cette
fois.